Le rachat de crédit immobilier, comment bien renégocier son crédit immobilier ?

Le rachat de crédit revolving

Le développement et l'évolution de la consommation a permis à de nombreuses sociétés d'exister. Chaque année se créer de nouveaux organismes financiers capables de créer des crédits à la consommation et autres produits financiers sur mesure pour le particulier.

Pour rappel, un crédit à la consommation est défini par tout emprunt financier qui pourrait servir à tacheter un équipement de la vie quotidienne (Électroménager, voiture, technologies) qui n'est pas considéré juridiquement comme bien immobilier.

Nous allons nous pencher ici sur les méthodes de rachat d'un crédit à la consommation très spécifique : le crédit revolving. Cette méthode de financement renouvelable est, comme son nom l'indique, un financement (réserve d'argent) qui est mis à disposition du consommateur pour tout achat de la vie quotidienne. La particularité étant que ce type de crédit est renouvelable c'est-à-dire que chaque centime remboursé peut être à nouveau dépensé. Le financement est alors un emprunt, mais qui peut être utilisé plusieurs fois.

Le crédit revolving présente donc des avantages intéressants pour le consommateur : disponibilité de la réserve d'argent et rapidité d’exécution. Cependant, il comporte également certains inconvénients : les risques de sur-endettement. Il s'agit d'un crédit « facile » mais qui peut s'avérer un piège. La seule solution pour sortir de cette spirale infernale du sur-endettement est de se faire racheter son crédit.

Le rachat de crédit se fait généralement de la façon suivante : on va consolidé toutes les dépenses en cours en un seul et même crédit qui va être adapté au consommateur en terme de durée, et souvent sur des taux beaucoup plus intéressants que des rachats classiques.

Les remboursements vont alors être plus légers et l'emprunteur verra plus rapidement la fin de cette période d'endettement.

Toujours est-il qu'il faut savoir que le crédit revolving a des bons et des mauvais points mais qu'il reste, au même titre que tous les emprunts financiers « rachetable ».